Une dame aux chiens tient une "veillée funèbre", mais peu après, elle est tout à fait surexcitée
Coblenza - Celui qui partage son domicile avec un compagnon à quatre pattes vit de nombreuses histoires drôles d'animaux : l'influenceuse et comédienne Nicolette Fountaris a partagé samedi sur Instagram un épisode avec ses fans, dans lequel le petit chien maltais de la jeune femme de 37 ans joue le rôle principal.

"Ne sois pas fâchée contre moi", dit la femme de Coblenza au début d'une histoire à son animal de compagnie. On pouvait voir la chienne blanche Hündin nommée "Peng", qui était visiblement déprimée sur un canapé.
"J'ai jeté son ours en peluche, parce qu'elle l'avait complètement déchiré ces dernières années", expliqua Nicolette aux spectateurs à partir du commentaire.
"Je t'en achèterai un nouveau, tous les quelques années je t'en achète un nouveau", se tourna la femme de 37 ans vers son animal de compagnie. "Peng" leva alors la tête et regarda avec reproche dans l'appareil photo du smartphone.
L'ours en peluche de la chienne était arrivé à bout, le jouet devait être jeté, insista l'influenceuse. Ensuite, elle dit à propos de sa chienne : "Maintenant, elle fait le guet ici." La dame aux chiens restait obstinément allongée près du sac-poubelle où se trouvait l'ours en tissu.
"Et même s'il coûte 100 euros, je t'en achèterai un nouveau, ok ? Mais ce week-end, tu devras te débrouiller sans", fit appel Nicolette Fountaris à la fin de la première histoire à "Peng" - mais cela n'était pas encore le dernier mot.
Nicolette Fountaris : « On ne peut plus appeler ça un "ours" ! »

"Bien", fut la voix légèrement irritée de l'influenceuse au début d'une deuxième histoire Instagram en off, tandis que "Peng" tirait le ours en peluche du sac en plastique avec quelque effort.
"Regardez ça !", commenta Nicolette la scène, pendant que son chien, tout excité, jetait l'ours en peluche d'abord sur le canapé puis de là sur le sol.
"On ne peut plus appeler ça un 'ours' ! C'est juste une coquille !", s'indigna l'influenceuse. En effet, la peluche faisait plutôt une impression flasque.
Mais "Peng" tint bon : "Alors prends-le", céda Nicolette Fountaris avec un soupir.
"Tu sais, petite souris, c'est parce que tu es si mignonne ! Je ne peux pas te faire de mal ! Alors prends ce truc dégoûtant, cette chose puante, moite et bête", ajouta la quadragénaire en s'adressant à son animal de compagnie avec un rire audible.